La femme et l'ours

Voilà, j'ai fini La femme et l'ours. Sans culpabiliser (oui, depuis 3 ans et des brouettes, il est très rare que je puisse lire sans culpabiliser de ne pas être en train de travailler à la place (mais aujourd'hui, c'est bon. D'une parce que je lis un Jaenada inédit donc j'ai le droit de "perdre du temps", et de deux... parce que j'ai préparé mon jeudi et mon vendredi)), sur un bon fauteuil, face au soleil. Que demander de plus ?
Donc, j'ai fini. Je ne raconterai pas l'histoire (si je raconte tout, c'est plus la peine de le lire, et puis les 4ème de couvertures, on les trouve sur tous les sites de librairies, comme celui-là, ou mieux encore, on peut aller voir ce qu'en dit Philippe lui-même sur son site). Je poserai juste une question : où s'arrête la réalité et ou commence la fiction ? Y'a pas à dire, plus je le lis, plus le personnage de Philippe Jaenada m'intrigue...