Les Yeux d'Opale

J'avais dit que j'en parlerais quand je l'aurais fini, il serait peut-être temps que je m'y mette. Je sais, j'ai fini de le lire depuis bien longtemps (Romain a eu le temps de le finir lui aussi, après moi, et pourtant, il est long !), mais bon... d'une part, je n'avais pas trop le temps de m'y mettre, et d'autre part... ben je ne sais pas trop quoi en dire sans rien dévoiler. Pas facile. Je crois que je ne suis pas faite pour être critique littéraire. Autant j'adore lire, autant j'adore certains livres, autant il est difficile pour moi d'exprimer ce que je ressens en les lisant.

Bref. (Ca va être tout pourri, Bénédicte, désolée... T'as le droit de m'en vouloir !) Donc... Quand on commence les Yeux d'Opale, il faut le savoir, on ne le lâche que quand il est terminé. Et encore, on est frustré. On voudrait pouvoir lire la suite sans s'arrêter. Aussitôt, on est plongé dans un monde nouveau, surprenant, et... (je ne trouve pas les mots... je le savais que ça allait être nul !)... qui devient rapidement addictif (non, décidément, c'est pas le mot juste, mais bon... je n'arrive pas à trouver mieux). Et pourtant, on doit directement passer à un autre monde, qui devient tout aussi rapidement passionnant.

Bon, stop. Arrêtons là le massacre avant que je ne vous dégoûte et que vous n'ayez plus envie de le lire. C'est pas ce que je cherche. Tout ce qu'il faut retenir, c'est que ce roman est génialissime, que je me suis régalée à le lire, que je le relirai volontiers pendant ces vacances (mais avant j'ai autre chose à finir, qu'il me tarde de voir entre mes mains autrement que sur A4 tout droit sorti de mon imprimante :p), et que je vous le conseille. Profitez des vacances, foncez dans votre librairie, je vous promets que vous n'allez pas vous ennuyer !

(Encore désolée, Bénédicte... je savais que je ne serais pas à la hauteur...)